fofoka
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Η πρόταση αναφέρεται σε υφάσματα:
"...avaient les teintes chaudes des velours du XVe qui servaient de dais aux madones de Bellini."
Είδα διάφορες εικόνες με μαντόνες του Μπελλίνι. Θα μπορούσε να είναι:
"...είχαν τις ζεστές αποχρώσεις των βελούδων του 15ου αιώνα, που κοσμούσαν τους θόλους των θρόνων στις μαντόνες του Μπελλίνι";
Το "dais" από atilf (κάπως επιλεκτικά):
http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;s=3793572780;
A. HIST. Table surélevée, estrade d'honneur de la grande salle d'un palais.
P. ext. Haut-dais, subst. masc. , Lieu élevé sur lequel le Roi ou la Reine se mettent dans les cérémonies publiques, soit qu'il y ait un dais dessus, soit qu'il n'y en ait point``
B. 1. Tenture fixée ou déployée au-dessus d'une estrade, d'un trône (synon. baldaquin), d'un lit (synon. ciel-de-lit), d'un autel, d'un catafalque (synon. poêle). Dais de brocart, de drap d'or, d'argent; tendre un dais. Un lit de garçonnet, ce lit en fer, monté sur des roulettes, avec son petit dais en forme de tente militaire, sa soie verte passée (GONCOURT, Journal, 1895, p. 793). /... Isabelle (...) vit au fond de la salle un dais seigneurial coiffé de plumes, historié d'armoiries dont il eϋt été difficile de déchiffrer le blason, et surmontant un fauteuil en forme de trône posé sur une estrade recouverte d'un tapis où l'on accédait par trois marches. (GAUTIER, Le Capitaine Fracasse, 1863, p. 379.)
2. P. anal.
a) Couronnement de trône, de stalle, de dressoir (généralement en bois sculpté).
b) ARCHIT. Ouvrage de pierre ou de bois en forme de petite voûte, décoré d'arcades et de pinacles, formant saillie au-dessus d'une statue, soit à l'extérieur, soit à l'intérieur d'un édifice religieux ou civil.
c) LITURG. Étoffe tendue, soutenue par deux ou quatre montants, sous laquelle on porte le saint sacrement, surtout dans les processions, ou sous laquelle on recevait les rois, les princes, etc. lorsqu'ils faisaient une entrée solennelle dans une église. Dais de la procession, du saint sacrement, liturgique; marcher sous le dais. Bernard était presque le seul homme derrière le dais (MAURIAC, Th. Desqueyroux, 1927, p. 237). N'a-t-on pas reçu ton roi Charles sous un dais d'or (SALACROU, Terre ronde, 1938, II, 1, p. 172).
d) HIST. AUTOMOB. ,,Toit démontable que l'on met sur les voitures découvertes`` (Ac. 1932). Cette voiture était un landaulet à quatre roues en bois, couvert d'un dais (P. ROUSSEAU, Hist. transp., 1961, p. 482).
C. P. ext., littιr. Abri, chose en forme de voûte qui recouvre. Le dais bleu, gris, etc., du ciel; le dais sombre du feuillage. (NERVAL, Filles feu, Isis, 1854, p. 655).
Ευχαριστώ και πάλι!
"...avaient les teintes chaudes des velours du XVe qui servaient de dais aux madones de Bellini."
Είδα διάφορες εικόνες με μαντόνες του Μπελλίνι. Θα μπορούσε να είναι:
"...είχαν τις ζεστές αποχρώσεις των βελούδων του 15ου αιώνα, που κοσμούσαν τους θόλους των θρόνων στις μαντόνες του Μπελλίνι";
Το "dais" από atilf (κάπως επιλεκτικά):
http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;s=3793572780;
A. HIST. Table surélevée, estrade d'honneur de la grande salle d'un palais.
P. ext. Haut-dais, subst. masc. , Lieu élevé sur lequel le Roi ou la Reine se mettent dans les cérémonies publiques, soit qu'il y ait un dais dessus, soit qu'il n'y en ait point``
B. 1. Tenture fixée ou déployée au-dessus d'une estrade, d'un trône (synon. baldaquin), d'un lit (synon. ciel-de-lit), d'un autel, d'un catafalque (synon. poêle). Dais de brocart, de drap d'or, d'argent; tendre un dais. Un lit de garçonnet, ce lit en fer, monté sur des roulettes, avec son petit dais en forme de tente militaire, sa soie verte passée (GONCOURT, Journal, 1895, p. 793). /... Isabelle (...) vit au fond de la salle un dais seigneurial coiffé de plumes, historié d'armoiries dont il eϋt été difficile de déchiffrer le blason, et surmontant un fauteuil en forme de trône posé sur une estrade recouverte d'un tapis où l'on accédait par trois marches. (GAUTIER, Le Capitaine Fracasse, 1863, p. 379.)
2. P. anal.
a) Couronnement de trône, de stalle, de dressoir (généralement en bois sculpté).
b) ARCHIT. Ouvrage de pierre ou de bois en forme de petite voûte, décoré d'arcades et de pinacles, formant saillie au-dessus d'une statue, soit à l'extérieur, soit à l'intérieur d'un édifice religieux ou civil.
c) LITURG. Étoffe tendue, soutenue par deux ou quatre montants, sous laquelle on porte le saint sacrement, surtout dans les processions, ou sous laquelle on recevait les rois, les princes, etc. lorsqu'ils faisaient une entrée solennelle dans une église. Dais de la procession, du saint sacrement, liturgique; marcher sous le dais. Bernard était presque le seul homme derrière le dais (MAURIAC, Th. Desqueyroux, 1927, p. 237). N'a-t-on pas reçu ton roi Charles sous un dais d'or (SALACROU, Terre ronde, 1938, II, 1, p. 172).
d) HIST. AUTOMOB. ,,Toit démontable que l'on met sur les voitures découvertes`` (Ac. 1932). Cette voiture était un landaulet à quatre roues en bois, couvert d'un dais (P. ROUSSEAU, Hist. transp., 1961, p. 482).
C. P. ext., littιr. Abri, chose en forme de voûte qui recouvre. Le dais bleu, gris, etc., du ciel; le dais sombre du feuillage. (NERVAL, Filles feu, Isis, 1854, p. 655).
Ευχαριστώ και πάλι!